Accusations criminelles contre un ex-employé - La STM fait le point

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À la suite du dépôt d’accusations criminelles de l’Unité permanente anti-corruption (UPAC) contre un de ses ex-employés, la Société de transport de Montréal désire faire le point.

À la suite du dépôt d’accusations criminelles de l’Unité permanente anti-corruption (UPAC) contre un de ses ex-employés, la Société de transport de Montréal désire faire le point.

Après avoir pris connaissance d’irrégularités commises par un de ses employés, la STM a procédé à une enquête interne qui a mené à la suspension, puis au congédiement de l’employé fautif, en mai 2014. À la suite des conclusions de l’enquête interne, la Société a saisi l’Unité permanente anti-corruption (UPAC), qui a pris en charge le dossier.

Rappelons que la STM dispose de plusieurs mécanismes de contrôle  pour assurer le respect des règles contractuelles.

En raison de la judiciarisation du dossier, la STM ne pourra commenter davantage.