Centre d'attachement Nord-Ouest

Texte important

Le procesuss de consultation publique est maintenant terminé

Le projet du centre d’attachement Nord-Ouest (CANO) vise la construction d’une nouvelle infrastructure, principalement souterraine, nécessaire à l’entretien du réseau du métro. Cet ajout découle de la volonté de la STM de réduire son déficit de maintien des actifs et d’assurer la pérennité de son réseau de métro.

Avant de venir s'installer dans le voisinage, nous souhaitons créer un dialogue avec la communauté locale au sujet de la cohabitation du CANO avec ses riverains, durant sa construction et son exploitation. Pour ce faire, nous vous proposons une démarche de consultation publique en deux temps: une soirée d’information suivie d'une séance d’expression des opinions.

Plus de détails sur le projet

Septembre 2022 – Note aux lecteurs

Ces documents sont rendus publics par volonté de transparence et afin de permettre aux participants de la consultation publique tenue à l’automne 2020 de prendre connaissance de l’issue de leur implication.

Toutefois, considérant la révision de la planification du projet CANO, l’adoption d’une nouvelle réglementation d’urbanisme n’est plus envisagée, à court terme. Si la portée du projet devait changer, il est possible que certains éléments des présents documents deviennent caducs, et l’adoption d’une nouvelle réglementation d’urbanisme basée sur les éléments présentés à l’automne 2020 ne serait alors plus envisageable.

Soyez assurés que d’autres tribunes de participation citoyenne seront déployées au moment opportun.

L’équipe du projet CANO

 

Rapport de la Commission

Plan d'action de la STM

Ce fût l'occasion d'en apprendre plus sur le projet et son échéancier.

  • Soirée d’information du 2 novembre 2020 à 19 h

Présentation – Séance d’information virtuelle

Consulter la page accessibilité pour plus d'informations sur les médias externes.

accéder à la vidéo Séance d'information du 2 novembre sur YouTube

 
  • Réponses à vos questions le 10 novembre 2020 à 19h
Consulter la page accessibilité pour plus d'informations sur les médias externes.

accéder à la vidéo https://youtu.be/qeYwQm3RivI sur YouTube

Cette tribune a permis aux citoyens d'émettre leur opinion ou de formuler des souhaits et suggestions à l'égard du projet.

Consulter la page accessibilité pour plus d'informations sur les médias externes.

accéder à la vidéo https://youtu.be/KnvPrTTskZk sur YouTube

Du 2 au 24 novembre 2020, vous pouvez faire connaître votre opinion sur le projet de 6 façons :

1. En remplissant un questionnaire guidé

Ce questionnaire de 5 questions vous permettra de vous exprimer sur le thème central de la consultation : la cohabitation du CANO avec ses riverains, durant sa construction et son exploitation.

 

2. Par écrit seulement

Vous devez nous faire parvenir votre texte au plus tard le mardi 24 novembre 2020 par courriel ou par la poste à l’adresse suivante:

Consultation publique – CANO
Secrétariat corporatif
800, rue De la Gauchetière Ouest
Rez-de-chaussée, bureau 1170
Montréal (Québec)  H5A 1J6

3. De façon verbale seulement

Vous pouvez prendre la parole lors de la séance virtuelle d’expression des opinions, sans avoir préalablement déposé d’opinion écrite.  La période d'inscription pour cet événement est toutefois terminée.

4. Par écrit et la présenter lors de la séance d’expression des opinions

Vous devez nous faire parvenir votre opinion écrite au plus tard trois jours ouvrables avant la séance, soit le 19 novembre 2020, par courriel à ou par la poste à l’adresse mentionnée plus haut.

 La période d'inscription pour cet événement est toutefois terminée.

5. Par vidéo préenregistrée

Vous pouvez choisir de réaliser une courte vidéo (10 minutes maximum) lors de laquelle vous exprimez verbalement votre opinion. Cette vidéo peut être agrémentée d’une présentation ou complétée par un document écrit.

Vous devez nous faire parvenir votre vidéo et documentation complémentaire, s’il y a lieu, au plus tard le 24 novembre 2020, par courriel.

6. Par téléphone

Vous pouvez nous contacter par téléphone au 514 STM-INFO + option 6 + option 1 (514 786-4636 + option 6 + option 1) jusqu'au 24 novembre 2020 pour nous faire part de votre opinion verbalement. L'un de nos agents colligera vos propos dans un document écrit pour vous.


Besoin d'aide?

Considérant l'absence de séance en présentiel, les personnes pour lesquelles il serait impossible d'exprimer leur opinion par les moyens proposés plus haut sont invitées à nous contacter par téléphone au 514 STM-INFO + option 6 + option 1 (514 786-4636 + option 6 + option 1), afin que nous puissions trouver une solution alternative.

Pour réaliser le projet de construction du CANO, la STM doit obtenir un règlement du Conseil d'agglomération de la Ville de Montréal édictant les règles d'urbanisme que la Société doit respecter pour la réalisation des travaux visés.

Pour obtenir ce règlement, la STM doit au préalable, réaliser une consultation publique, conformément à sa Politique de consultation publique – réseau du métro (PC 1.14).

  1. Notre conseil d’administration lance le processus de consultation en créant une Commission.
  2. La Commission est composée d’un président et de deux commissaires extérieurs à la STM, mandatés par le conseil d’administration.
  3. Les citoyens sont informés par différents moyens de communication tels que le site Internet, le journal, l’affichage sur les lieux projetés des travaux et la distribution d’une invitation dans les boîtes postales.
  4. La Commission procède à :
    1. Une séance d’information avec présentation du projet et période de questions;
    2. Une séance d’expression des opinions.
  5. Les commissaires déposent ensuite un rapport à la STM avec des recommandations. Les travaux de la Commission prennent fin avec le dépôt du rapport à la STM.

Marguerite Bourgeois, Présidente de la Commission

Marguerite Bourgeois est diplômée de l’université McGill en sciences et en droit. Elle a œuvré au sein d’entreprises dans les secteurs public et privé, dans les domaines industriels, des services et manufacturiers au sein de sociétés tels Alcan, Loto-Québec, Fonorola ou IPEX. Elle possède une solide expérience de la direction des affaires juridiques et corporatives, de la planification stratégique, de la gestion de projets et du démarrage d’entreprise, tant au niveau national qu’international.   Les différents volets de son portefeuille professionnel ont été mis à profit dans le cadre de mandats à titre de commissaire ad hoc de l’Office de consultation publique de Montréal et auprès de la STM.

Son activité professionnelle a toujours été accompagnée d’engagement social, que ce soit à titre de membre de comité Centraide, de présidente du Prix du duc d’Édimbourg, division Québec, au sein de l’association des guides bénévoles du Musée des beaux-arts de Montréal ou à l’intérieur d’autres groupes para professionnels ou communautaires.

Son approche centrée sur les personnes et les résultats, son sens de l’organisation et ses habiletés de négociation sont de précieux atouts dans la réalisation fructueuse des mandats qui lui sont confiés.


David Hanna, Commissaire

Retraité depuis 2016, mais encore actif comme professeur associé en urbanisme au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, David Hanna est détenteur d’un doctorat en économie de l’Université McGill. Expert en transport urbain et en patrimoine urbain, il possède une longue expérience en consultation publique, ayant notamment mené des mandats pour le Comité consultatif de la Ville de Montréal pour la protection des biens culturels de 1991 à 2003. De 1996 à 2004, il a également exercé la fonction de président du Conseil du patrimoine religieux du Québec. Tout au long de sa carrière, comme en font foi ses nombreuses publications et contributions à des congrès scientifiques, il a développé une vision pertinente et ouverte des enjeux humains économiques, architecturaux et patrimoniaux inhérents à la vie dans la cité.


Martine Musau, Commissaire

L’expérience professionnelle de Martine Musau cadre parfaitement avec les besoins de la Commission. Tant les fonctions d’officier municipal qu’elle a occupées entre 2012 et 2019 à titre de directrice des affaires juridiques et greffière des villes d’Amqui et de Kirkland que sa pratique actuelle d’avocate en droit municipal, l’ont amenée à bien saisir les enjeux rencontrés par les décideurs municipaux. Elle a notamment chapeauté la refonte des règlements d’urbanisme d’une ville liée, a contribué à la création de cadres de consultation publique transparents et efficaces, a eu à élaborer pour des gouvernements locaux des stratégies relatives aux questions d’urbanisme et d’aménagement, de gestion contractuelle et d’éthique. Elle a également dirigé des sessions de formation pour des élus et des cadres municipaux.

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